Comité de sélection resoo

Une vision d’ensemble :

grâce à sa connaissance et à son expertise du territoire, le comité de sélection resoo identifie puis sélectionne un panel d’entrepreneurs à qui nous proposons de faire partie du livre, via la réalisation d’un portrait.

Un équilibre :

le comité attache une grande importance à l’équilibre territorial de telle sorte que la diversité entrepreneuriale soit représentée pour chaque département.

Des critères :

la singularité des parcours ou la volonté de transmettre l’esprit d’entreprendre, dans un souci de pluralité des profils (de l’artisan au dirigeant d’ETI),  sont des critères dont tiennent compte les membres du comité dans leur sélection.

Anne Verdeaux - Medef Gironde

Anne Verdeaux

Secrétaire générale Medef Gironde

Philippe Loiseau

Philippe Loiseau

Vice président CGPME Gironde

Jean-Yves Dupuy

Délégué régional Société Générale
Partenaire resoo

Didier Magnin

Adista
Past president DCF gironde

Ulrich Chofflet

Fondateur resoo

Secrétaire Générale du MEDEF Gironde, responsable  des relations externes, Anne Verdeaux  côtoie depuis une vingtaine d’années  le monde économique et établit des passerelles avec les entreprises, les institutions publiques et privées et diverses associations. D’abord chargée du développement, elle met en place des plans de prospection pour la recherche de nouveaux adhérents*.  Puis, avec son équipe, elle développe des actions de fidélisation qui se sont diversifiées au fil du temps pour répondre et  pour s’adapter aux besoins des entreprises adhérentes. Elle est particulièrement en première ligne pour la réalisation de l’Université des Entreprises, le rendez-vous annuel incontournable du monde économique qui réunit 1200 participants lors  de la journée (conférences, débats) et de  la Soirée des Entrepreneurs, organisée chaque année  dans un lieu différent. A sein du MEDEF Gironde elle assure également les relations avec la presse régionale et nationale.

Bordelaise depuis l’âge de 6 ans, Anne Verdeaux a effectué toute sa scolarité à Bordeaux. C’est à la sortie de sa Maîtrise en Sciences économiques qu’elle se lance dans une première aventure,  la création ex nihilo à Bordeaux de l’école de gestion et commerce  INSEEC (26 étudiants dans la première promotion) et participe à son développement pendant sept ans. Elle saisit l’opportunité d’une seconde expérience en s’impliquant dans la création de l’agence Communication Sans Frontières. Outre l’apprentissage du métier de la communication, elle a la chance de participer aux  travaux de Jacques Baratier, dirigeant d’Atochem, fondateur d’Agrisud.  Pour son premier projet de développement agricole au Congo, l’agence réalise des films vidéos destinés à la télévision congolaise et aux organisations internationales. Elle décide ensuite de compléter son cursus par le Master en logistique de l’ISLI. Pour son stage de fin d’études, Médecins Sans Frontières  lui confie la recherche d’un lieu d’implantation, au sud d’une ligne Bordeaux Lyon, pour sa base nationale logistique qui doit quitter Lézignan Corbières. Encouragée par un comité de soutien dynamique, Anne Verdeaux propose à MSF un site en bordure de rocade à Mérignac. MSF Logistique est inauguré en janvier 1993. Elle intègre l’UPG (futur MEDEF Gironde) en septembre.

Le MEDEF Gironde rassemble 1100 dirigeants de TPE, PME et ETI de tous secteurs d’activité qu’il représente, défend et accompagne au quotidien.

Mes fonctions à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Bordeaux m’ont amené à apprécier à sa juste valeur le mot « proximité ». Notre Président, Pierre Goguet, a utilisé ce vocable fétiche bien avant qu’il ne soit à la mode et auquel j’adhère sans réserve. Dans une société en crise, beaucoup de choses sont incertaines et fragiles. Il n’empêche que la proximité au sein d’un territoire constitue une valeur refuge à partir de laquelle vous pouvez construire des fondations solides, pérennes et durables. Ces territoires de proximité sont vitaux : ils vivent, créent de l’emploi et s’enrichissent en grande partie grâce à des chefs d’entreprise et des commerçants qui méritent d’être mis en lumière. C’est la raison pour laquelle j’ai adhéré avec ferveur au projet resoo d’Ulrich Chofflet dont j’ai pu apprécier le talent, notamment avec son précédent livre. Aussi, de manière totalement désintéressée, j’ai participé bénévolement à faire connaître ce projet d’ouvrage que vous avez la primeur de découvrir aujourd’hui. Ce recueil, décliné par ailleurs en version numérique, a plusieurs vertus. Il nous permet tout d’abord de découvrir ou de mieux connaître un tissu riche et diversifié de dirigeants qui ont créé ou repris une entreprise et d’analyser les stratégies de développement qu’ils ont mis en œuvre. Il nous donne également à réfléchir sur les difficultés –parfois même les épreuves– que ces femmes et ces hommes ont dû surmonter dans un monde économique complexe. Il nous livre également les centres d’intérêt et les passions de Girondins de naissance ou d’adoption qui sont aussi des citoyens et dont l’action rayonne souvent bien au-delà de leur rôle de chef d’entreprise. Je tiens enfin à souligner la pertinence du nom de ce livre qui fait référence à « réseau », un autre mot qui me semble indispensable pour prospérer au 21e siècle. resoo a d’ailleurs vocation, au-delà de cette publication, à réunir des décideurs qui partagent l’esprit d’initiative et le goût de notre territoire. Bâti comme un projet de création d’entreprise, l’ouvrage que vous avez entre les mains constitue en quelque sorte un réseau de proximité et de passion qui ne demande qu’à s’épanouir.

Pourquoi avoir rejoint resoo ?

Parce que resoo ne s’adresse pas uniquement aux entreprises mais surtout aux entrepreneurs ; la création et la diffusion du Beau livre resoo illustre parfaitement ce parti pris en faveur des femmes et des hommes qui concrètement, quotidiennement, promeuvent la région, agissent pour la région Nouvelle Aquitaine.
Parce que de façon très complémentaire aux réseaux consulaires, aux structures professionnelles, resoo – ce club d’entrepreneurs – traverse la Nouvelle Aquitaine sans préjugé de « terroir », de secteur d’activité, de taille de business, etc.
Parce que les membres de resoo s’assemblent et échangent, plus ou moins assidument bien sûr, mais toujours dans un esprit d’ouverture, de partage et de franche convivialité.
Je suis membre de ce club depuis un peu plus d’un an : à travers lui j’ai rencontré de belles personnalités, des partenaires, de futurs partenaires … et quelques vrais amis ! Je ne me lasse pas de recommander resoo autour de moi, en Gironde et dans toute la Nouvelle Aquitaine.

Homme de réseaux (resoo !) et de challenges ; je suis passionné de sports (marathon, trials, ski, golf…) , je m’implique dans l’éco système bordelais et girondin ; Président des DCF Bordeaux Gironde de 2012 à 2015, membre du bureau Syrpin, adhérent MEDEF, intervenant vacataire à l’IUT Tech de Co et au Cnam sur le management des équipes commerciales …
J’ai créé l’agence Adista SO en 2007 et manage aujourd’hui les régions Nouvelle Aquitaine et Occitanie avec 35 collaborateurs

La photographie est l’art d’immortaliser l’instant en le magnifiant dans l’émotion, qu’elle soit grave ou joyeuse. C’est aussi le révélateur de l’âme. C’est pourquoi certaines communautés – amérindiennes ou asiatiques – ne souhaitent pas être photographiées.  Même avec toutes les autorisations techniques, morales ou sociales, il est souvent difficile de trouver la bonne alchimie, encore plus quand on est photographe de portraits. C’est le pari d’Ulrich Chofflet. Cette approche de l’humain nécessite intuition, sensibilité, empathie et rapidité. Quatre qualités développées depuis 15 ans par ce bordelais natif d’Ardèche et révélées dans le travail de resoo, projet unique qu’il développe depuis 2014. Pour la première comme la seconde édition de resoo (livre prévu pour septembre 2017), Ulrich Chofflet cherche à capturer, ne serait-ce qu’un instant, les âmes des acteurs économiques de la Gironde et de la Nouvelle Aquitaine. Vaste programme déjà compilé, pour la première édition dans un bel ouvrage de 220 pages, sorti en juin 2016. « Les plus réticents pensent que ce type de portrait va surtout flatter leur égo alors que le but est de mettre en valeur leur expérience et leur parcours en toute humilité », explique le photographe.

Pour ce quadragénaire, tout a commencé par la passion : le jeune Ulrich est tombé dans la photo quand il était petit. Et la formule lui convient bien : « Mon père était photographe professionnel à une époque de sa vie. Mais le vrai déclic s’est fait à ma communion quand on m’a offert mon 1er appareil photo », se souvient-il. Pourtant, son orientation universitaire est plutôt classique : DEUG d’économie, 1ère année en histoire de l’art à Dijon. Il prépare bien le concours d’entrée d’école de photo d’Arles, s’inscrit dans un club de photo. Mais les nécessités de la vie le rattrapent : avec l’appareil photo de son père, il part sur la côte d’Azur et devient photographe saisonnier pour plusieurs studios photo. Une aventure de cinq ans. « J’y ai développé deux qualités importantes dans mon métier de photographe portraitiste : le sens du contact et la maîtrise de la lumière. » Mais pourquoi le portrait ? « Il permet de raconter une histoire singulière en dévoilant l’intime de la personne », considère-t-il.

Passion et authenticité

De retour en Gironde, l’autodidacte éclairé travaille pour la presse (Reuters, Le Point, l’Usine Nouvelle, Paris-Match…), pour des entreprises et crée sa première société : Couleurs Bassin. En juillet 2013, il édite « Rencontres au Cap », une série de portraits de figures locales célèbres ou inconnues du Cap Ferret. C’est un succès. En 2014, Ulrich Chofflet change d’échelle et décide d’appliquer ce regard au monde de l’économie et à l’échelle girondine. C’est la naissance de resoo, une marque déposée, un site Internet et surtout un beau livre. « Dans ce projet, j’y ai mis de la passion, de la convivialité, de la simplicité et de l’authenticité. » On pense à quelqu’un… En mai 2016, des dizaines d’acteurs économiques parmi les plus importants du département, fêtent au Château Pape Clément, la sortie de resoo : 100 portraits fidèles à la philosophie d’Ulrich, à la recherche de l’intime dans les mots, les ombres et les lumières, sans se travestir. Un challenge pas évident car « en France, les entrepreneurs ont du mal à se mettre en avant alors quils ont tout à y gagner, souffle-t-il. Mais les habitudes changent. »

Depuis la rentrée 2016, en plus du livre, cet amateur de permaculture (« pour manger des produits sains et goûteux »)cherche à structurer un vrai réseau : des rencontres entre adhérents resoo et invités, de manière décontractée et surtout désintéressée. « Ce club deviendra ce que les membres en feront, lâche-t-il, philosophe.

 » Le portrait permet de raconter une histoire singulière «