Jean-Marc Coquel - Cabinet Plasseraud - resooJean-Marc Coquel, la curiosité comme moteur

Malgré un goût prononcé pour les étoiles et la voile, Jean-Marc Coquel a les pieds sur terre quand il s’agit d’appréhender les mécanismes des objets et phénomènes qui l’entourent. Si au lycée, la physique l’a passionné, « je voulais comprendre le dessous des choses, comme la rosée du matin » ; aujourd’hui ce sont les problématiques de ses clients qu’il doit saisir pour mieux les accompagner. Dans toute leur diversité. De l’exploration spatiale aux dispositifs d’assistance ventriculaire. « C’est génial, on passe d’un sujet à un autre. Conseil en Propriété Industrielle est un métier passionnant. » Et pour ce curieux de nature, habitué à faire le grand écart, ce n’est pas un problème. Il a étudié l’allemand en première langue durant sa scolarité, il part faire sa thèse en Angleterre, « je voulais devenir bilingue en anglais », puis son post-doc aux Pays-Bas ; il passe d’un concert de musique classique au Grand théâtre à des artistes de variétés ou de rock tels que Puggy, Muse ou Australian Pink Floyd… Sa curiosité, il la développe chaque jour.
C’est d’ailleurs elle qui l’a amené à suivre la voie du métier de conseil. « J’étais enseignant-chercheur temporaire à l’Université, je me suis rendu compte que ma voie serait ailleurs». Jean-Marc Coquel a des doutes sur sa carrière. Lui qui s’est pourtant plongé corps et âme dans la physique dès son adolescence, grâce à un frère aîné matheux qui a insufflé l’approche technique à toute la fratrie de cinq enfants.

Changement de cap

« Un ami qui travaille à l’Institut Fédéral de la Propriété Intellectuelle en Suisse m’a parlé de son métier, en contact avec les développements techniques». Il est conquis.  Il devient ingénieur brevet pour un cabinet parisien de conseils en Propriété Industrielle en 2000. « Je ne pensais pas un jour suivre des formations juridiques et passer des examens professionnels après 8 ans d’études supérieures ! » Il garde ainsi un lien avec la technique et découvre l’innovation. S’il a laissé la recherche académique derrière lui – « sans regret » – il continue à faire fructifier ses compétences de pédagogue. « Il faut être à l’écoute, sonder afin de s’assurer que l’invention a bien été identifiée dans toutes ses composantes ». Lui qui estime être plus un homme de dossiers que de relations publiques, apprécie les liens qu’il noue avec ses clients. « 80 % des entreprises sont des TPE ou des PME, on est une personne de confiance pour l’entreprise, on apporte notre vision ». Le côté commercial du métier, il le laisse volontiers à celle qui partage sa vie, tant sur le plan personnel que professionnel, Sandrine Vimes, également conseil en propriété industrielle (mention marques et dessins & modèles).
En 2004, c’est ensemble qu’ils tournent une nouvelle page, à Bordeaux, pour dans un premier temps collaborer au sein d’un cabinet local pendant 11 ans, puis devenir responsables du bureau bordelais du Cabinet Plasseraud, un des leaders européens du domaine. Point de chute idéal pour profiter des ballades dans les Landes où ils partent se ressourcer le week-end, faire un peu de voile. Et surtout, « notre priorité », élever leurs garçons de 8 et 10 ans, à qui ils enseignent que la curiosité n’a rien d’un vilain défaut.

Jean-Marc Coquel
Cabinet Plasseraud
5 cours de verdun
33000 Bordeaux
Tel : 05 33 89 19 20

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